l’essor du net imperceptible Les lendemains de gala avaient fréquemment une saveur particulière : on se réveillait relativement souvent avec la voix enrouée à bien puissance d’avoir chanté, mais le cœur léger, nourri des émotions de la veille. À la bâtisse, le large banquet de retrouvailles laissait chaparder une atmosphère